L’Organisation des Nations Unies

Extraits Wikipédia.

L’Organisation des Nations Unies (ONU) est une organisation internationale regroupant, à quelques exceptions près, tous les États de la planète. Distincte des États qui la composent, l’organisation a pour finalité la paix internationale. Ses objectifs sont de faciliter la coopération dans le droit international, la sécurité internationale, le développement économique, le progrès social, les droits de l’homme et la réalisation à terme de la paix mondiale. L’ONU est fondée en 1945 après la Seconde Guerre mondiale pour remplacer la Société des Nations, afin d’arrêter les guerres entre pays et de fournir une plate-forme de dialogue. Elle contient plusieurs organismes annexes pour mener à bien ses missions.

Contexte historique

L’ONU a été fondée le 26 juin 1945, à San Francisco, lors de l’entrée en vigueur de la charte des Nations unies, pour remplacer la Société des Nations (SDN), qui n’avait pas pleinement joué son rôle et n’avait pu empêcher l’invasion de la Mandhcourie, l’invasion de l’Ethiopie, la Guerre civile espagnole et la Seconde Guerre mondiale, ainsi que pour fournir une nouvelle plate-forme de dialogue international.

Pour pallier les échecs de la Société des Nations, Franklin Delano Roosevelt prévoit une hiérarchie des États où tous les membres signataires seraient représentés, mais avec un conseil de sécurité de quinze membres, dont cinq permanents, disposant d’un droit de véto. Ces cinq pays sont les États-Unis, l’URSS (qui sera remplacée par la Russie), la Chine, la France, et le Royaume-Uni, tandis que les dix autres pays du conseil de sécurité n’y sont que pour deux ans.

Cinquante-deux pays signent la Charte des Nations unies. La condition effective pour avoir sa place à l’ONU est d’avoir déclaré la guerre à l’Allemagne au moins trois mois avant sa capitulation. Seul le Japon fera exception à cette règle.

[…]

L’organisation dispose de plusieurs instances fonctionnant autour de l’Assemblée générale : le Conseil de sécurité, le Conseil économique et social, la Cour internationale de justice et des agences spécialisées. D’autres organes sont chargés de diverses questions et forment ensemble le système des Nations unies.

La figure publique la plus visible de l’ONU est le Secrétaire général qui est depuis 2007 le Sud-coréen Ban Ki-moon. L’ONU est financée par des contributions volontaires et par les États membres, et a six langues officielles : l’anglais, l’arabe, l’espagnol, le français, le mandarin et le russe.

En 2012, l’ONU compte 193 États membres, soit presque tous ceux qui sont officiellement reconnus. De son siège qui se situe sur un territoire international dans la ville de New York aux États-Unis, l’ONU et ses agences spécialisées réparties dans d’autres États prennent toute l’année diverses résolutions sur des sujets qui sont de leur domaine de compétence.

[…]

Histoire

Articles détaillés : Histoire de l’ONU, Création de l’Organisation des Nations unies

Avant 1945 :

Précurseur de l’ONU, la Société des Nations avait été fondée en 1919, à la suite du traité de Versailles et dans le but de conserver la paix. Il lui a été reproché de ne pas avoir pleinement joué ce rôle.

Les premières bases des Nations unies furent posées lors de l’élaboration de la Déclaration des Nations unies, qui fut signée le 1er janvier 1942 à Washington DC. L’expression Nations unies est due au Président des États-Unis, Franklin D. Roosevelt ; elle avait pour but de signifier que des États avaient décidé de se réunir pour prévenir les conflits armés de manière que des guerres telles que la Première et la Seconde Guerre mondiale ne se reproduisent plus jamais, ayant à l’esprit ces guerres qui « deux fois en l’espace d’une vie humaine ont infligé à l’humanité d’indicibles souffrances » comme le dit la Charte des Nations unies. Mais c’est avec la Conférence de Dumbarton Oaks à Washington DC et surtout la conférence de San Francisco en 1945 qu’ont été définis exactement le but et le fonctionnement de l’ONU.

Le texte fondateur de l’ONU est la Charte des Nations unies. Cette charte fut signée à la fin de la Conférence de San Francisco par les représentants des 51 États fondateurs le 26 juin 1945. La Pologne, qui n’avait pas été représentée à la Conférence de San Francisco, la signa plus tard, mais elle fait néanmoins partie des 52 États membres originels, parce que son gouvernement en exil avait précédemment signé la Déclaration des Nations unies. Le Japon qui a basculé dans le camp des alliés à la toute fin de la Seconde Guerre mondiale fit exception à la règle d’avoir déclaré la guerre à l’Allemagne au moins trois mois avant sa capitulation. C’est un point sur lequel les États-Unis ont fortement insisté, justifiant que « mettre le Japon au banc des nations pour quelques semaines de guerre ne ferait que ramener à la situation de la période 1936-1944 ».

C’est le 24 octobre 1945, lors de la ratification par la majorité des pays signataires, que l’ONU naquit officiellement. Depuis, la Journée des Nations unies est célébré le 24 octobre de chaque année.

La paix entre les nations est la mission fondatrice des Nations unies. Avant l’ONU, d’autres organisations œuvraient pour la paix dans le monde : l’Union interparlementaire (créée en 1889), le Bureau international de la paix (créé en 1891), la Cour d’arbitrage international de La Haye (créée en 1899), l’Organisation internationale du travail (créée en 1919) et la Société des Nations (active entre 1919 et 1939, techniquement jusqu’en 1946).

[…]

Premières années :

L’ONU réunit des États pour prévenir les conflits armés et se préserver des violences de la Première et la Seconde Guerres mondiales qui « deux fois en l’espace d’une vie humaine ont infligé à l’humanité d’indicibles souffrances ».

Le Conseil de sécurité se réunnie pour la première fois en Janvier 1946 au siège provisoire des Nations unies situé à Londres. Le 1er février, le Norvégien Trygve Lie devient le premier secrétaire général des Nations unies. La première résolution, adoptée le 24 janvier, est relative à la découverte de l’atome : l’Assemblée générale recommande d’en éliminer l’usage militaire et d’en développer l’usage civil.

[…]

L’un des permiers dossiers majeurs que l’ONU a à gérer est la question de la parition de la Palestine mandataire entre Juifs et Arabe. Le Royaume-Uni, qui assure alors le mandat sur la Palestine, confie aux Nations unies le rôle de définir la mise en place d’un plan de partage, après de vaines tentatives d’y trouver une réponse entre 1945 et 1947. Le transfert du mandat d’administration britannique de la Palestine aux Nations unies donne lieu à la première mission d’observation de l’organisation avec l’envoi du médiateur Folke Bernadotte en Palestine. Le 29 novembre 1947, l’Assemblée Générale vote la résolution 181, préconisant le partage de la Palestine mandataire en 3 entités : un État juif, un État arabe, et Jérusalem, placée sous tutelle de l’ONU.

[…]

La première guerre israélo-arabe s’achève après la signature d’un cessez-le-feu entre Israël et les États arabes le 7 janvier 1949 sous les auspices de Ralph Bunche. La trêve donne lieu à la première opération de maintien de la paix des Nations unies qui est déployée en 1949 avec l’ONUST.

Guerre froide :

[….]

Avant 1951, l’URSS pratiquait la politique de la chaise vide pour contester la non-reconnaissance de la Chine communiste comme successeur de la Chine nationaliste au conseil de sécurité. Durant cette période, la Mandchourie fut admise comme membre des Nations-Unies et le Japon devint membre permanent du conseil de sécurité. À la suite de la guerre de Corée, où les États-Unis ont pu faire reconnaître la Corée du Nord comme État agresseur et décider l’envoi de troupes sous l’égide des Nations unies, l’URSS s’est rendu compte qu’il était dans son intérêt de siéger et son représentant n’a plus jamais quitté son poste.

[…]

L’ONU est restée pendant très longtemps paralysée durant la guerre froide. Les deux superpuissances, les États-Unis et l’URSS étant des membres permanents du Conseil de sécurité, paralysèrent l’Organisation des Nations Unies en abusant de leur droit de véto (il fut utilisé 242 fois en 45 ans).

Pour tenter de contrer cette paralysie, la résolution Acheson fut adoptée à l’initiative des États-Unis ; elle permettait à l’Assemblée d’émettre des recommandations aux États membres de l’ONU. Cependant, celle-ci ne fut que très peu utilisée en pratique.

[…]

Objectifs

Là où la Société des Nations n’était qu’un espace de dialogue, où les diplomates pouvaient se rencontrer pour établir des consensus, l’ONU peut, avec le Conseil de sécurité, prendre des décisions concrètes. Celles-ci peuvent déboucher, par exemple, sur l’autorisation d’employer une force armée – les « Casques bleus » – pour maintenir ou rétablir la paix.

En vertu de sa charte précisée dans l’article 1, l’ONU s’efforce d’être un lieu où se construit un avenir meilleur pour tous les êtres humains, et cela à travers quatre objectifs :

  • Maintenir la paix et la sécurité dans le monde.
  • Développer les relations amicales entre les nations.
  • Réaliser la coopération internationale sur tous les sujets où elle peut être utile et en encourageant le respect des droits de l’Homme.
  • Être un centre où s’harmonisent les efforts des nations dans des objectifs communs.

L’ONU n’est pas un gouvernement mondial et ne légifère donc pas. Cependant, ses résolutions donnent une légitimité aux interventions des États et sont de plus en plus appliquées dans le droit national et international. Toutes ces actions se pérennisent au travers de la signature de traités ou conventions internationales entre les nations. Les principaux travaux et débats sont interprétés ou traduits par écrit dans les six langues officielles de l’ONU : anglais, arabe, chinois, espagnol, français, russe, mais seuls l’anglais et le français sont les langues de travail du siège new-yorkais.

[…]

Protection de l’environnement

Article détaillé : Programme des Nations unies pour l’environnement.

Les problèmes environnementaux ne s’étant manifestés de façon significative que depuis les années 1970, la protection de l’environnement n’est pas un objectif explicite de l’ONU. Néanmoins, cet objectif est pris en compte depuis 1972 par le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), dont le siège est à Nairobi au Kenya. Le PNUE a été créé à la suite de la Conférence des Nations unies sur l’environnement de Stockholm en juin 1972 sous l’influence du Rapport sur les limites de la croissance.

[…]

Ces travaux préparent le sommet de la Terre de Rio de 1992 à l’issue duquel les États membres adoptent la Convention-cadre des Nations unies sur le changement climatique (COP). Le protocole de Kyoto est adopté à la COP3, en 1997.

Organes principaux et institutions

Articles détaillés : Système des Nations unies, Liste des agences spécialisées de l’ONU, Listes des organisations apparentées à l’ONU.

L’Organisation des Nations Unies comprend six organes principaux :

  • L’Assemblée générale, ou tous les États membres sont représentés et disposent d’une voix pour les recommandations qui sont portées au vote. L’Assemblée générale dispose de compétences très larges, mais n’émet pas de décisions contraignantes pour les États.
  • Le Conseil de sécurité est plus spécialement chargé de traiter les menaces contre la paix, les ruptures de la paix ou les agressions ; il peut émettre des résolutions contraignantes pour les états ; ses pouvoirs sont définis dans le chapitre VII de la charte de l’ONU. La pratique lui permet de décider du lancement d’opérations de maintien de la paix avec le concours des états membres puisque l’ONU est dépourvue de moyens militaires propres. Le conseil de sécurité peut décider de sanctions contre un État.
  • Le Conseil économique et social qui aide à la promotion de la coopération économique et sociale et au développement.
  • Le Conseil de tutelle dont la fonction est tombé en désuétude depuis la fin de la décolonisation.
  • La Cour internationale de justice tranche les différends entre les états qui acceptent de recourir à sa juridiction ; elle peut également fournir des avis juridiques aux autres organes lorsqu’elle est saisie, ce qui arrive de plus en plus rarement. Elle siège à La Haye (Pays-Bas). Conformément à l’article 92 de la Charte des Nations unies, elle remplace la Cour permanente de justice internationale, dont elle utilise les jurisprudences.
  • Le Secrétariat qui assure la gestion quotidienne de l’organisation, y compris celle des quelque 9 000 fonctionnaires qui l’animent, et des représentants des Nations unies.

En plus de ces six organes principaux, l’ONU a créé au fil du temps plusieurs agences spécialisées comme l’OMS pour la santé ou l’UNESCO pour la coopération internationale en matière de développement de l’éducation, des sciences et de la culture, mais aussi l’UNICEF pour les enfants.

Le Conseil économique et social des Nations unies (ECOSOC) est placé sous l’égide de l’Assemblée générale et a un rôle consultatif concernant les questions de coopération économique et sociale internationale ; deux types de commissions : les Commissions techniques, comme la commission du développement durable ; les Commissions régionales, comme la CEE-ONU (UNECE), qui participe à des travaux de standardisation comme les spécifications techniques sur le commerce électronique.

[…]

États membres

Articles détaillés : Liste des États membres de l’Organisation des Nations unies, Liste des membres fondateurs de l’Organisation des Nations unies et Liste des États non reconnus internationalement.

Depuis l’adhésion du Monténégro en 2006 et de la République du Soudan du Sud en 2011, l’ONU compte désormais la quasi-totalité des États du monde, soit 194 sur les 198 qu’elle reconnaît – les quatre États reconnus, mais non membres étant la Palestine (depuis le 29 novembre 2012) et le Vatican qui ont un statut d’observateur, ainsi que les îles Cook et Nioué. Le Vatican est toutefois le seul État pleinement souverain et reconnu par les Nations unies bien qu’il n’en soit pas membre, et il n’existe aucun obstacle à son adhésion si les autorités vaticanes souhaitent un jour rejoindre l’organisation.

Cependant, certaines entités prétendant à un statut d’État (principalement le Somaliland, le Kosovo et la République sahraouie qui ne sont reconnus que par certains pays, et le Tibet qui n’est officiellement reconnus par aucun État), ou formant des nations (comme l’Autorité palestinienne avant le 30 novembre 2012) ne sont pas représentées à l’ONU. Ainsi, contrairement à sa dénomination, c’est le statut d’État et non de Nation qui permet l’accès à l’Organisation.

[…]

Critiques

Article détaillé : Critiques de l’Organisation des Nations unies.

[…]

En novembre 2001, le mensuel Le Monde diplomatique publie un article de l’écrivain et journaliste néozélandais Nicky Hager, expliquant notamment la façon dont les États-Unis ont profité de la localisation de la Conférence de San Francisco (acte fondateur de l’organisation en avril 1945) sur leur territoire pour espionner massivement les diplomates présents dans leurs communications avec leur capitale respective. « Recueillis par les compagnies télégraphiques, leurs télégrammes, cryptés, furent décodés par des officiers opérant vingt-quatre heures sur vingt-quatre, puis transmis aux négociateurs américains. Ce fut un succès total… »

[…]

L’organisation s’est largement discréditée lors de drames récents : échec de la prévention et de la protection en 1994 au Rwanda lors du terrible génocide des Tutsis qui s’est soldé par 800 000 morts. Incapacité pendant plus de vingt ans à mettre un terme à la guerre civile somalienne. Incapacité également de prévenir et de stopper les conflits en ex-Yougoslavie de 1991 à 1995, et particulièrement d’assurer la protection des enclaves musulmanes de Bosnie-Herzégovine. Le massacre de Srebrenica (juillet 1995), pour lequel la qualification de génocide est en débat, s’est déroulé dans l’incapacité des 400 Casques bleus néerlandais d’intervenir.

En 2010, lorsqu’un séisme provoqua un désastre humanitaire à Haïti, l’ONU s’est montrée incapable de coordonner l’aide rapidement, c’est finalement l’armée américaine qui jouera un rôle clé. L’organisation internationale avait été dépassée à peine un mois auparavant lors de la conférence de Copenhague sur le climat, les États-Unis et la Chine avaient alors conclu des accords seuls.

[…]

Avenir et réforme

L’avenir de l’ONU passe de plus en plus par une réforme en profondeur de son fonctionnement. Jusqu’à maintenant, elle fut repoussée, mais les problèmes du budget, en particulier de sa dette, et celui du fonctionnement du Conseil de sécurité avec l’arrivée de nouveaux membres permanents et l’extension de son domaine de compétence deviennent de plus en plus pressants. Durant son mandat, l’ancien secrétaire général, Kofi Annan, a commandé de nombreuses études sur les voies à suivre pour réformer l’organisation. Mais, par manque de consensus au sein des membres permanents du Conseil de sécurité, elles sont pour l’instant restées lettre morte.

Le 7 mars 2006, le secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan, a proposé aux États membres, dans un rapport à l’Assemblée générale, une vaste réforme de l’administration de l’ONU, attendue par les dirigeants mondiaux après que l’Organisation eut été secouée par une série de scandales. Annan a présenté une série de mesures allant de la délocalisation de certains services au renforcement du système de passation des marchés. Celui-ci a été ces dernières années mis à mal par le scandale du programme « pétrole contre nourriture » de l’ONU en Irak et lorsqu’une enquête interne a découvert des pratiques contestables dans le secteur du maintien de la paix, ayant occasionné des dizaines de millions de dollars de pertes pour l’Organisation.

Après 10 ans de discussion, un consensus a enfin été trouvé pour lancer les premières réformes. Ce nouvel élan est dû au Président américain Barrack Obama et au Président chinois Xi Jinping. Le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) deviendra l’Organisation mondiale de Protection de l’Environnement (OMPE) à partir du 1er janvier 2018 suite aux accords signés dans le cadre du COP21 de Paris.

De longues discussions ont commencé pour élargir le Conseil de sécurité des Nations Unies. La Chine et la Russie souhaite voir les autres pays du BRICS (Brésil, l’Inde et l’Afrique du Sud) rejoindre le Conseil de Sécurité. Une proposition qui ne rencontre pas spécialement d’opposition si ce n’est qu’en échange, le Japon et les Etats-Uns demande un siège pour la Mandchourie., et que plusieurs pays Européen appel l’Allemagne à rejoindre, elle aussi, le Conseil de Sécurité.

La création d’un nouvel organisme dédié aux questions d’éthique cybernétique (Intelligence artificielle, drones, implants cybernétiques et biomécaniques), de cybersécurité, de cyberguerre et de génétique est envisagé pour la décénie 2020. Les travaux de rédaction de la charte de cette organisation sont menés par le Dr Makoto Arata. Vraisemblablement, cette organisation portera le nom d’Organisation Mondiale pour l’Etique Cybernétique et Génétique (OMECG) ou World Cybernetic and Genetic Ethic Organisation(WCGEO) et son siège devrait être situé à Singapour ou à Genève.

Alors que le siège de l’organisation à New York est de plus en plus vétuste, la question d’un déménagement est en cours de discussion. La Russie, la Chine et le Japon sont les principaux soutiens du retour de l’organisation au Palais des Nations en Suisse, pays neutre par excellence. Le scandale des écoutes diplomatique n’est sûrement pas étranger à ça.

La question de la centralisation ou de la délocalisation fait partie des enjeux liés à un futur déménagement. Plusieurs pays souhaitent que les différentes organisations liées à l’ONU soient réparties à travers le globe. Dans un souci d’économie, plusieurs pays menés par la Chine, la Russie, la France et l’Allemagne souhaitent que toutes les branches de l’ONU soient centralisées dans un seul grand complexe afin de limiter les coûts liés aux déplacements et communications. Dans ce cadre, la Chine est le principal support d’un grand chantier d’agrandissement et modernisation du Palais des Nations à Genève. Ce dernier serait hautement connecté et fonctionnerait exclusivement aux énergies renouvelables « faisant de l’ONU le guide du monde vers la modernité ».[…]

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3 commentaires sur “L’Organisation des Nations Unies

  1. Les réformes laissent penser que les IA sont plus développés que dans la réalité.

    Deux paragraphes avec plusieurs gaffes :

    Une « propisition » qui ne rencontre pas spécialement d’opposition si ce n’est « quen » échange, le Japon et les Etats-Uns demande un siège pour la Mandchourie ». », et que plusieurs pays Européen(s) appel(lent) l’Allemagne à rejoindre, elle aussi, le Conseil de Sécurité.

    La création  »d’un’ nouvel organisme dédié aux questions d’éthique cybernétique (Intelligence artificielle, drones, implants cybernétiques et biomécaniques), de cybersécurité, de cyberguerre et de génétique est envisagé pour la « décénie » 2020.

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    1. Merci d’avoir pointé les erreurs. Il est toujours facile d’écrire que de se relire.
      Je ne sais pas si les IA seront plus puissante, mais en tout cas l’inquiétude quant aux « Robots tueurs » arrive plutôt qu’OTL.

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